Ville Onmyouji est un forum RPG fait pour les amoureux de la fantasy, de l'aventure, mais aussi des univers "scolaires".

Sur ce forum il est possible d'interpréter des élèves comme des adultes au milieu de deux mondes différents peuplés de créatures fantastiques.

Ici, vous aurez le choix de vivre une vie normale, ou bien d'apprendre les arcanes de la magie et de défendre la Terre et Momo -la dimension d'à côté- contre de dangereux monstres!

Devenez traqueur ou forgeron, politicien, mafieux ou encore simple fonctionnaire ! Accomplissez des quêtes et perfectionnez vos pouvoirs ! Partez à la chasse ou venez nous aider à explorer les terres inconnues...dans tous les cas nous n'attendons que vous !

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 Erika Chidoyashi (Terminée)

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MessageSujet: Erika Chidoyashi (Terminée)   Erika Chidoyashi (Terminée) Icon_minitimeSam 23 Jan - 10:27


Bad Ass !
Don't you dare fuck with me !


Chidoyashi & Erika



Information Personnage
Date de naissance ;; 28 Mai.
Âge ;; Autour des 21 ans.
Sexe ;; Féminin.
Sexualité ;; Why would you know that ? I'm never gonna sleep with you!
Nationalité ;;Franco-Anglaise du côté maternel et russe de celui paternel.

Groupe ;;Chikyuujin.
Race ;;Humaine.
Clan ;;Aucun.

Métier;;Actuellement hôtesse, elle n'a pas fait de longues études.



Physionomie
Un physique de sirène. Erika a la chair tendre, le visage doux. De ses yeux bleus qui font parler. De ses cheveux doux qu'on aime toucher. Quelques boucles caressent un menton volontaire que sa mère lui a offert. Elle a le regard de ses grandes dames de la cour des époques victoriennes. Un fleuve à la fois impétueux et provocateur. Des prunelles qui dansent et chantent quelques pensées incomprises, mais sévères. Avec ses cils longs et fournis, elles donnent à son faciès une grimace de poupée de porcelaine. Elle sait d'ailleurs bien les maquiller, du fard à paupières argenté ou marron clair, des couleurs qui sied à son teint. Sur un des sourcils blonds qui s'étirent le long d'un front délicat en direction de ses tempes souvent battantes de colère, un piercing a été percé, représentant d'un moment de folie passager. Un soir où Erika avait trop bu et que le besoin de casser son image enfantine s'était fait sentir. En effet, jusqu'à seize ans avec ses mèches ondulées et ses lèvres rosées, elle semblait tout droit sortie d'un conte de fée. Alors est venu le temps des tatouages et des habits plus osés. Cela dit entre barbie et princesse Aurore la limite n'était déjà pas très bien dessinée. Erika a appris à faire ressortir toute la pulpe de sa bouche, en faisant le fruit qu'on aimerait le plus croquer. Elle a percé ses lobes et compris comment dévorer sensuellement du regard les hommes. Elle a su mettre en valeur ses seins ronds, des formes volumineuses que dame nature lui a offerte avec un surplus de poids. Deux crémeux monts dont aucun ne connaît encore suffisamment la texture douce et la rougeur des tétons. Elle possède un ventre plat, des hanches fines sous lesquelles saillent des côtes osseuses et des reins que marquent quelques écrits dont la signification n'est connue que de notre bien aimée. La fausse française a les jambes longues et galbes, une paire fine qui la porte sur un bon mètre soixante-huit pour un petit poids de cinquante-deux kilos. Oui, on lui a déjà proposé de poser pour quelques magasines, mais au Japon où la pudeur est de mise, les tatouages et les piercings ne passent pas très bien auprès du grand public. Elle aura donc dû se contenter de dévoiler ses courbes pour un magazine adolescent de seconde zone. Au moins aura-t-elle eu le mérite de faire baver quelques jeunes garçons avides de fesses bombées et de sexe. Car, Erika ne fait pas partie de ses filles mignonnes. Son apparence ne rend en rien une image de pureté, elle a plutôt l'air d'une dépravée et a le genre de visage et de corps que chacun associe à la chaleur des draps et la facilité d'une partie de jambes en l'air vite gagnée. C'est parfois triste, être sexy c'est ce que beaucoup aimeraient, pourtant, à choisir, la blonde aurait au final préférer se faire adorable. Quand on est mignonne, on est toute aussi belle qu'une fille chaude et on a la chance de parfois plaire à des hommes sincères. Dans son cas, elle est strictement persuadée n'attirer que les pervers en manque de bon porno. Les doigts fins, les ongles toujours soignées, Erika ne laisse jamais passer un détail. Elle n'a pas perdu son goût pour le luxe et le confort nonobstant sa pauvreté actuelle et compte bien se marier à un grand riche plus tard.

Psychologie
Pour commencer, je vous prierais de bien vouloir croire que l'argent rend l'humain égoïste. Aussi, si vous avez déjà lu la bonne histoire de Charlie et la Chocolaterie et que vous vous rappelez de Verrucaire, alors je peux remballer mon crayon, car elle est en tout point le portrait de ce que fut Erika durant une grande partie de son enfance : Bornée et égocentrique. Ainsi, si la petite blonde avait le sourire de l'ange Gabriel, elle volait aux chérubins leurs habits et s'amusait à rejouer les malheurs de Sophie. La seule différence c'est qu'elle avait beau découper le corps des abeilles, sa mère n'en faisait pas son nouveau collier. Quel dommage, cela aurait été un bon sermon. Se montrer autoritaire, exiger qu'on lui achète monts et merveilles, quelques pleurs pour la forme suivis d'une exigence ou deux, voilà un quotidien dont la chipie ne se privait pas. C'est qu'elle était comblée, madame la Reine. Ni merci, ni s'il te plaît, ce qui se présentait sous le couvert d'un visage adorable n'était pas plus qu'un être pourri-gâté. Le sourire blanc cachait donc beaucoup de moisi, pour peu de propreté. En dehors de la maison, on la fuyait comme la peste. Pour cause, qui ne correspondait pas à ses critères de princesse n'avaient pas le droit de lui parler, encore moins de la toucher. C'était tout juste si elle n'aurait pas mordu le premier qui aurait osé la contredire. Le menton haut, Erika était de ce genre d'enfants qui ne pensent qu'à soi. Un caractère que la jalousie a eu tendance à forger, il faut l'avouer. Les moqueries et les critiques, les vols de ses poupées préférées et la boue qu'on lançait à ses ravissants jupons bleus avaient terminés d’exacerber le côté prétentieux de sa personnalité. Puisque que personne ne pouvait la supporter, c'était que personne n'était assez bien pour elle. Un moyen comme un autre de se mettre à l'abri des méchancetés. Il est vrai que ce n'était pas non plus une mince affaire, cela fit d'Erika une solitaire. Aujourd'hui encore, la jeune femme garde la critique facile, le regard mesquin et l'art de se faire détester. Elle n'a pas perdu le port-altier, ni l'assurance incommodante qui est la sienne. Cela fait désormais partie de son charisme et se veut davantage être de l'honneur, que de l'égoïsme. Quoi qu'il en soit, d'Erika plus rien n'est à envier. D'héritière tête à claque à petite orpheline de rue, il y a eu deux morts et une sacrée fessée de maman la vie. Elle en a mangé. La jalousie a cédé place à la pitié, les habits de luxe aux vieux jeans de seconde main des friperies du coin. Il n'est pas faux qu'on l'aurait bien consolé. Elle avait la morne-attitude des jours de pluie et son âme semblait aussi creuse qu'une bogue de châtaigne éventrée. Puis, elle ouvrait la bouche et on se souvenait brusquement que ses épines n'étaient pas brisées. Franchement, quelle peste ! Venimeuse et déplaisante, n'y avait-il pas une once de gentillesse à l'intérieur de cette carapace belliqueuse ? C'est là sans doute que les apparences sont trompeuses. Car il suffit bien plus que d'une confrontation -ce à quoi on se limite souvent- pour comprendre qu'Erika a ses qualités. Critiquer, elle le fait, mais jamais les handicapés, encore moins les malheureux ou les personnes âgées. Vulgaire ? Un tantinet c'est vrai, elle aime se faire désirer, cela ne l'empêche pourtant pas d'avoir ses bonnes manières, en plus d'un langage parfois étrangement décalé et pompeux sur les bords. Dragueuse et conquérante, si ses lèvres se promènent certes, volontiers de bouche en bouche, elle reste une vierge effarouchée qui ne vendra jamais plus que ses doigts et sa langue. Coquine, vraie et courageuse, ce sont sans doute les meilleurs compliments qu'on peut lui prêter. Les curieux seraient aussi surpris de lui trouver un esprit un brin romantique. Oubliez toutefois le bouquet, ce n'est pas son style. Elle reste quelqu'un d'ambitieux qui a tendance à s'imaginer ou à vouloir croire que l'argent peut tout acheter.  Elle se crée sa sécurité, se méfie et fuit les liens affectifs. Erika est une femme addictive qui arrive à séduire par sa maladresse, son attitude réservée, ses rares sourires et sa douce effronterie. C'est quelqu'un d'un peu lâche, mais fidèle, le genre à ne pas toujours s'assumer, bien qu'affreusement têtue. Une demoiselle charmante, sincèrement. Il faut juste ne pas l'écouter, ça vous évitera les migraines, les disputes et les piailleries.

Histoire

Ma famille était heureuse. Elle menait une vie paisible dans un petit hameau de campagne à une heure du tohu-bohu de Tokyo, au cœur de la région de Chiba, connue pour son calme et ses splendides plages de sable blanc où s'échouent poissons marins frais et coquillages chatoyants. Encore aujourd'hui, des falaises au dos ronds bordent ces espaces sauvages et donnent à l'océan une image de rivière sans galets. Si le bleu des eaux de Chiba est celui des calanques, on ne trouve point de pointes escarpées en ces lieux. Il n'y a que les grains chauds des minis dunes pour ensevelir les pieds et les pinces des crabes pour en écorcher la plante. Quand je rentrais du primaire, tard, le soir, après des heures passées dans un train que la sueur des passagers avait imprégné d'une mauvaise odeur, il n'était pas rare que je m'arrête à Oshishome au lieu d'Himeda. Une courte pause, où je prenais le temps d'observer l'écume des vagues se teinter d'un orange brûlant sous les derniers rayons du soleil. La mer prenait alors, la couleur de l'Enfer.

Mon pseudo garde du corps et mon ami d'enfance, Jun n'aimait pas beaucoup ces escapades. Cela le rendait nerveux d'ainsi désobéir aux ordres de  nos pères. Il craignait le courroux de nos proches à l'idée que l'on ne soit en retard à la gare, ou qu'il ne m'arrive un malencontreux accident. Il n'aimait pas devoir constamment m'accompagner, lui, qui, plus âgé, n'avait jamais l'occasion de profiter de ses camarades ou de sa petite amie comme il le faudrait. Il avait eu la malchance d'être le fils d'une famille de garde du corps dévouée aux principes traditionalistes. Ses parents attendaient ainsi qu'il s'engage avec la même foi dans ce travail là. Les siècles avaient beau passés, le Japon restait cette éternelle terre où technologie et vielles coutumes se mêlaient avec une force et une harmonie qu'aucun autre pays au monde ne pouvait se vanter de posséder. Il n'était donc pas étrange d'entendre parler  de ses obligations à suivre, surtout dans les rangs dits « nobles » de la société. C'était une question d'honneur. C'est ce qui a tué mon père adoptif, l'honneur. Le devoir et la fierté, pourquoi faut-il que la société nippone y dévoue une telle importance ? Personnellement, je n'ai pas d’ego. J'ai déjà tout vendu, tout donné. J'ai déjà tout déshonoré. Du sang au corps, en passant par la mémoire de mes parents, il n'y a plus de blanc, que du gris.

Jun n'habitait pas loin. Il se chargeait de me raccompagner à la gare et c'est là qu'on me récupérait. On vivait dans une grande maison de marbre  et de plâtre clair. Une imposante bâtisse sur deux étages, à la toiture rouge sombre, aux jolies baies vitrées et à petit balcon fleuri. Le genre de propriété qu'on ne pouvait trouver qu'ici, loin de l'espace entubé de la mégalopole où chaque appartement rend l'effet d'une capsule et où le mètre carré se paie fortune. Mon père l'avait obtenu suite à son mariage avec Maralyn, ma génitrice. Française de naissance, mais anglaise d'origine, maman était une belle femme, élancée, sûre d'elle, et pleine de vie. Elle avait collectionné les cœurs comme les aventures, jusqu'à ce qu'un accident arrive. Libertine et extravagante, les bons conseils de ses amies sur l'avortement n'avait pas su la convaincre de se débarrasser de son bébé. La sulfureuse blonde m'avait gardé en dépit de son petit salaire et d'un quotidien très occupé. Si beaucoup critiquent les mariages arrangés, d'autres -comme mes parents- en sont sortis très heureux. Ils formaient une paire idéale et aucun n'aurait pu se douter que leur union était le fruit d'une vielle promesse familiale.

Celui qui devint mon affectueux papa, se nommait Hideyoshi Shiodome. Des yeux noirs, une peau basanée par une enfance passée sous le chaud soleil du Kyushu et une voix rocailleuse, c'était un homme doux, hardi, au sérieux indiscutable et à la générosité prononcée. Il avait la trentaine et heureux hasard -ou calcul précis- était un homme stérile. Ma présence l'avait donc davantage enchanté que contrarié. On aurait pu le dire absent, rigide ou coincé, mais je ne garde de son souvenir que les plus merveilleux sourires et les cadeaux à n'en plus finir. Il m'a élevé comme sa  fille et gâté comme une princesse. Rien n'était trop cher pour me faire plaisir. Les robes, le poney, les voyages, les chaussures, les sacs de marque, les bijoux et les diamants, il en avait pour son argent. Il me suffisait d'ouvrir la bouche, d'insister un peu ou d'afficher une mine boudeuse pour qu'il cède à mes caprices. Bien que maman me grondait pour ses vilaines pleurnicheries infantiles, les remontrances passaient dans une oreille et sortaient par l'autre aussi vite que l'avion ne disparaît dans les nuages au décollage. Je vivais comblée, au sein d'un univers où mes désirs se faisaient rois. Il n'y avait aucun cumulus dans mes journées, juste l'école peut-être, car je ne m'y plaisais guère. J'étais entourée d'une armada de gosses que je jugeais -dans toute ma prétention- trop pauvres et ennuyeux. Leurs mocassins étaient abîmés, leurs vêtements de seconde-main. On ne naviguait pas sur le même fleuve. Un palace dorée vraiment, c'est ce que fut ma vie jusqu'à quatorze ans.

De la colère et de la haine, des ''je te déteste'' crachés à la figure en boucle, du matin à l'aurore, de minuit à midi, à chaque conversation et à chaque repas, c'est ce que j'ai offert comme cadeau d'adieu à ceux qui m'avaient tant chéris. L'adolescence m'avait rendu aussi imbuvable que le plus âcre des cafés et la perte de mon paradis plus mauvaise que la pire des hyènes. Mon père avait été licencié. Notre richesse envolée. Mon arrogance écrasée. Mes volontés contrariées. Oui, une affreuse égoïste j'étais. De la peine d'Hideyoshi, de ses yeux éteints et de son visage éreinté j'avais fait fit. Je le fuyais, je le massacrais. Mes paroles se faisaient venimeuses, elles arrachaient la chair de son cœur aussi sûrement que les crocs d'un chien sauvage ne déchiquettent la tendre viande de la biche. J'étais une ignorante. J'étais sa fille. Il m'aimait. Et, je l'ai achevé. Si ses collègues de l'entreprise l'avaient désigné comme un judas, si ces chacals l'avaient traînés dans la boue et fait ramper, j'avais terminé de le décapiter. Je ne sais pas ce qui était le plus horrible. Je ne me souviens pas de ce qui m'a le plus marqué. Sangloter ma honte. Regretter nos derniers mots. M'indigner de la faramineuse amende qu'on est venu nous réclamer pour suicide sur voie ferroviaire. Crier à m'en faire saigner les tympans. Subir l'injuste arrestation de ma mère et sa conduite en prison pour complicité de meurtre. Ma poitrine devenue un amas de charbon et de cendre, une charpie de bois pourris et brûlé.  Ou l'hyperventilation qu'accompagnait l'anxiété transformant la moindre respiration en un long supplice. L'insupportable solitude qui a suivi leurs disparitions m'a conduit par trois fois sur le toit d'un grand immeuble de la baie d'Odaiba. Perchée au dessus du vide, je tentais de trouver la force de lâcher le grillage d'une main moite, mais si la tête suivait, le corps tremblait et la volonté se perdait dans un ultime sursaut de panique et d'effroi. Je n'avais pas le courage de mourir et je n'en étais que plus coupable de vivre.

Vous savez combien c'est pénible d'intégrer une famille d'accueil quand on a quinze ans et qu'on est la fille d'une femme qui a assassiné son mari ? Les regards de dégoûts et la fausse compassion, ce genre d'émotions qui vous apitoient sans arrêt et vous renvoient à votre peine heure après heure. Le temps s'est écoulé, les mois ont défilé. Je passais de foyer en foyer de la même manière qu'un employé change sa chemise tous les quatre matins. D'après les services sociaux, j'étais exécrablement difficile. Honnêtement, je ne crois pas qu'ils avaient tort, mais je n'avais pas l'intention d'y mettre de la bonne volonté. Sans compter Sachiko, j'aurais fini par dormir sous les ponts à la majorité.

Sachiko avait 65 ans quand on m'a confié à elle. Elle habitait dans une maisonnée à Yokohama et y vivait seule depuis le décès de son mari. Les débuts furent difficiles. Prise dans mon mutisme que je ne coupais que pour critiquer, elle est la première qui n'a pas hésité à me rabaisser le caquet. Elle était stricte, aussi bornée que moi et dotée d'un véritable caractère de cochon. C'est ce qui m'a sauvé. Elle ne me traitait pas plus mal ou pas mieux qu'elle ne le faisait avec ses petits enfants. Elle ne me plaignait pas et me rappelait sans arrêt que j'étais loin d'être malheureuse. Je n'étais ni malade, ni handicapée et j'étais suffisamment belle pour me trouver un bon parti. A ses côtés, je me suis affirmée. Je suis devenue celle que je suis désormais : Une hôtesse à la recherche d'un semblant de vengeance. Ce n'est peut-être pas glorieux, mais elle m'a incité à trouver un nouveau but à mon existence. Ses conseils m'ont relevée. Je ne l'ai plus quittée. J'ai 20 ans, elle en a eu hier 69. Je redoute le moment où je devrais la quitter tout autant que celui où elle s'éteindra. Elle m'incite à reprendre les études. J'y songe. Il me faut cependant encore accomplir quelques formalités. A commencer par retrouver les entrepreneurs qui ont fait de mon père leur bouc émissaire et mis sur le dos de ma mère son meurtre. Parce que j'en suis persuadée, c'était un coup monté.


Derrière l'écran

Nom/surnom: Eri
Âge: Secret
Sexe: Secret
Comment as-tu connu le forum ?: Top site.
Que pensez-vous du forum ? : Très sympa.
As-tu bien lu le réglement ?:



Jeune Idéaliste
Justice sera faite !


Lockhearts & Shizuka



Information Personnage
Date de naissance ;; 18 Mars.
Âge ;;24 ans.
Sexe ;;Féminin
Origines ;;Les contrées sous-marines.
Race ;;Sirène.
Fonction ;;Une simple civile, mais elle exerce des fonctions d'avocate sur Terre.

Exorciste;;Pas d'exorciste, ni de demi-démon.


Histoire

Avec ses grands yeux bleus qui rappellent l'océan et ses airs mystérieux, il n'est souvent pas bien difficile d'imaginer les origines de Shizuka. Après tout, elle a la peau douce et le regard dévorant, les cheveux qui ondulent et ce souffle froid et glaçant. C'est une sirene, une vraie, bien qu'elle est troquée sa queue par des jambes et ses branchies pour des poumons afin de vivre sur Terre parmi les hommes et les femmes de ce monde. Le fait est qu'avant d'être douce et disciplinée, le genre d'enfant qu'on aurait jamais imaginé quitté la maison, Shizuka est une orpheline curieuse et généreuse. Elle s'est très vite pris d'amour pour la Terre et si la plupart de ses comparses passent leur temps à traquer le mauvais "Yasei", Shizuka se sent investit d'une mission autre, mais tout aussi importante. Ce qu'elle traque elle, c'est les malfrats, les mauvais exorcistes et puis surtout la mafia. Elle entend bien démanteler le réseau Charleston et tous les petits trafics de Philadelphie et cela dans la plus grande légalité ! Vous l'aurez compris Shizuka Lockhearts est une utopiste, en plus de n'être qu'une petite pointure encore dans le monde de la justice, mais qu'à ne cela ne tienne ! Elle sera rapidement se faire connaître comme la meilleure avocate des USA ! A moins qu'elle ne se fasse prendre et assassinée avant, mais c'est à croire que cette perspective ne l'effrait pas le moins du monde. Au passage, elle est la nouvelle avocate de la mère d'Erika.


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MessageSujet: Re: Erika Chidoyashi (Terminée)   Erika Chidoyashi (Terminée) Icon_minitimeSam 23 Jan - 10:57

Bienvenue! Joli prénom (dit-il parce qu'il a donné le même à l'une de ces filles) D'ailleurs, j'aimerais bien voir un RP entre Erika, la réelle princesse de Momo mais qui n'est pas du tout à sa place, et Erika la terrienne qui agit comme une princesse mais sans lien royal XD

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Age: Je ne vous le dirai pas !
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Akiko Gôto

The Monster Fonda

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MessageSujet: Re: Erika Chidoyashi (Terminée)   Erika Chidoyashi (Terminée) Icon_minitimeLun 14 Mar - 9:15

Bienvenue Erika² !

C'est une très belle femme que tu nous présente là. Je n'ai rien à redire sur sa fiche. Son histoire est intéressante et son caractère dévoile un personnage avec un fort potentiel.

De même pour son esprit qui a troqué sa vie à Célestia pour apporter la justice sur terre en respectant les lois humaines. Je suis curieux de voir ce mélange sympathique.

Je te donne ta première validation !
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Icone de votre esprit : Erika Chidoyashi (Terminée) 852277Base

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MessageSujet: Re: Erika Chidoyashi (Terminée)   Erika Chidoyashi (Terminée) Icon_minitimeLun 14 Mar - 9:20

Bonjour Erika. ^^

J'ai regardé ta fiche. Tout semble en règle.

Je te donne donc ta seconde validation
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MessageSujet: Re: Erika Chidoyashi (Terminée)   Erika Chidoyashi (Terminée) Icon_minitime

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Erika Chidoyashi (Terminée)

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